En cas de situation dangereuse ou conflictuelle, il existe 2 chemins possibles. Le choix de LA FUITE, ou celui de FAIRE FACE, de rester (parfois même de lutter). Avant toute chose, lecteur, j’aimerais te rappeler que les 2 options sont bonnes. Simplement, elles correspondent mieux à une situation ou à une autre. D’ailleurs dans le mouvement des survivalistes (ceux qui se préparent à la fin du monde, l’apocalypse zombie et une inflation galopante de l’Euro), de nombreuses personnes se préparent au deux : fuir d’abord vers une base durable, et faire face ensuite.

La fuite :

Pour pouvoir être exécutée rapidement, la fuite demande un minimum de préparation, mais apporte un soulagement immédiat et plutôt simple face à un problème difficile à régler (comme un incendie, une tornade ou l’arrivée au pouvoir d’un psychopathe homicide).
Il est donc recommandé d’avoir pris ses disposition par le biais d’une bonne planification et d’un Bug Out Bag (sac d’évacuation d’urgence). Notez que vous ne vivez peut-être pas seul : vos proches doivent être informés des dispositions  à prendre en cas d’urgence. Dites leur où vous retrouver, comment s’organiser, et comment ils peuvent être le plus autonome dans leurs « préparatifs du dernier moment » (pour les moins de 5 ans, ça revient peut être à décider quel nounours prendre en priorité, mais c’est un début).

Savez-vous que prendre la fuite peut demander beaucoup de courage ? Lorsqu’on jette un rat à la mer, il nage jusqu’au rivage. Mais lorsqu’on le pose sur une planche, il reste coincé sur sa planche, même si elle s’éloigne de la terre. Ne soyez pas le rat. Soyez prêt à partir quelques jours si vous sentez que le vent tourne.

Contrepartie : Le problème de la fuite est qu’elle peut se révéler hasardeuse si vous n’avez pas préparé de retranchement pour la suite. Mais ceci nous amène au second point : la possibilité de faire face.

Faire face (le concept de la forteresse) :

forteresse et survie

Auteur photo : Stuck in Customs

Si le danger n’est pas temporaire, faire face demande de la préparation, une vision à long terme et une implication forte. C’est typiquement LA vision du survivaliste : se barricader, stocker eau, énergie, et nourriture… Mais ce n’est pas forcément la votre, si vous souhaitez juste faire quelques efforts pour préparer une catastrophe, sans en faire un art de vivre. Heureusement, dans une vision à court terme il est possible de s’organiser pour attendre que la situation se régule d’elle même. Ou qu’elle se corrige par l’intervention de l’état. Ou par celle de votre ami imaginaire si vous êtes croyant (Ceci est une private joke. On verra si quelques amis lisent ces lignes. Si oui, je ne vais pas tarder à me faire taper sur les doigts).

Ces préparatifs simplifiés demandent également une certaine logistique, mais quelques efforts devraient vous aider à faire face à 80% des problèmes qui peuvent un jour vous tomber sur le coin du visage. Au nombre desquels je recommande de stocker de l’eau, ou de se préparer à l’hypothèse toute simple (en apparence) d’une coupure de courant prolongée.

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